
Réalisateur: Robert Zemeckis
Année: 1994
Résumé:
Né dans une petite ville de l'Alabama, Forrest Gump, un homme simple d'esprit avec une légère stupidité et un grand cœur incompris raconte l'histoire de sa vie à de purs étrangers en passant par son enfance où il rencontra Jenny pour la première fois et changea sa vie à tout jamais. Tout au long de son existence, Forrest vivra pour l'espoir d'être avec Jenny et connaîtra les plus beaux moments de sa vie à ces côtés. Tout cela en retraçant les évènements marquants des États-Unis durant les années 1950 à 1980, par exemple la guerre du Viêtnam que Forrest fera face. Champion de football américain, champion mondial de ping-pong, marathonien pour le plaisir et capitaine d'un crevettier pour son ami Bubba, mort à la guerre, Forrest vivra plusieurs aventures autant comiques qu'émouvantes.
Critique:
Si je devais donner une note à ce film, ça serait sans doute un 9/10. L'histoire touchante et humoristique de Forrest qui nous replonge dans une multitude de souvenirs réels de ces années-là est sublimement confectionnée. L'histoire est originale et attachante et quant aux aspects cinématographiques ils sont simples, mais très bien exécutés. Par exemple, on va même jusqu'à replacer le personnage dans certains vrais vieux films d'évènements américains importants ce qui apporte une touche d'humour et de culture. Le fascinant et touchant personnage de Forrest Gump ainsi que l'aspect historique vaut, selon moi, l'écoute de ce film qui vous fera probablement couler quelques larmes émotives.
Le langage cinématographique du film
Le champ-contre-champ: Madame Gump parle avec un directeur d'école à propos de Forrest. Pendant ces plans, il y a des vues en amorce.
Le regard hors-champ: Forrest est à la guerre et découvre son ami Bubba blessé.
Entrée et sortie du champ: Au moment où Forrest se lève de sa véranda et se met à courir jusqu'au moment où une dame âgée lui dit: «Et vous ne faisiez que courir?» il y a 4 entrées de champ et 1 sortie de champ, c'est donc très peu pour filmer quelqu'un qui ne fait que courir.
Le plan-séquence: Le générique du début est un plan-séquence qui dure 2 minutes 30 secondes à peu près et qui filme une plume qui vole. Le plan séquence débute au tout début du film et finit lorsqu'il y a un plan rapproché épaule sur Forrest.
Le très gros plan: Aucun
Le plan subjectif: Aucun
Overhead Shot: Aucun
Le «split screen»: Aucun
Le panoramique vertical: Forrest vient d'apprendre qu'il va avoir la médaille d'honneur et cherche le lieutenant Dan pour lui annoncer, mais tombe sur la mauvaise personne. La caméra descend sur un patient de l'hôpital.
Le panoramique horizontal: Deux personnes noires veulent s'inscrire à l'université de Forrest et cet évènement passe à la télévision. Panoramique filmant quelqu'un qui regarde sa télévision jusqu' à la télévision elle-même.
Le travelling avant: Forrest parle à une dame qui lit un magazine sans porter attention à lui. Il se remémore sa première «paire de chaussures». Le travelling débute avec un plan moyen filmant les deux personnages et fini par un plan rapproché épaule sur Forrest.
Le travelling arrière: À la suite du travelling avant, il y a un travelling arrière sur le jeune Forrest qui regarde ses nouvelles «chaussures». Le travelling débute avec un plan rapproché épaule et finit par un plan moyen.
Le travelling vertical: Au début, pendant le générique, la caméra filme une plume et à partir du moment où la plume est sur le soulier de Forrest et qu'il la ramasse il y a un travelling vertical très évident.
Le travelling latéral: Forrest est à la guerre et marche dans la forêt et tout d'un coup la pluie se met à arrêter. La caméra suit le personnage dans sa marche.
Le travelling circulaire: Aucun
Zoom avant et zoom arrière: Aucun
L'effet de reflet: Forrest et sa mère passent devant un magasin d'appareils ménagés et voient par la vitrine Elvis Presley à la télévision. La caméra filme Forrest qui regarde la vitrine et l'on voit le reflet de la télévision.

L'effet de portail: Forrest et sa mère passent devant un magasin d'appareils ménagés et voient par la vitrine Elvis Presley à la télévision. La caméra filme la vitrine.
L'effet d'interdépendance: Aucun
L'effet de portail: Forrest et sa mère passent devant un magasin d'appareils ménagés et voient par la vitrine Elvis Presley à la télévision. La caméra filme la vitrine.
L'effet d'interdépendance: Aucun
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