dimanche 11 mai 2014

L'étrange histoire de Benjamin Button (2008)

Réalisé par: David Fincher

 

Résumé:

L’étrange histoire de Benjamin Button est un film dramatique fantastique sorti en 2008 et tiré d’une nouvelle du même titre écrite par l’auteur Francis Scott Fitzgerald en 1922. L’histoire se déroule en Nouvelle-Orléans où une jeune femme et sa mère mourante discutent dans une chambre d’hôpital. La femme âgée demande alors à sa fille de lire pour elle un journal intime qui ne lui appartient pas. Ce petit cahier appartient à Benjamin Button et raconte son histoire. Cet étrange homme n’est pas comme les autres. Au lieu de grandir en croissance normale, Benjamin naît avec les caractéristiques physiques d’un vieillard et rajeunit au lieu de vieillir. Son existence commence alors que sa mère meurt en lui donnant naissance. Lorsque le père de Benjamin arrive, troublé et désespéré, il regarde le visage du poupon, il le prend brusquement et le dépose avec quelques billets devant une maison. Benjamin est alors recueilli par une dame noire nommée Queenie, et élevé par elle dans sa maison qui est aussi une maison de retraite. La vie de cet unique homme change pour toujours lorsqu’il fait la rencontre de Daisy, une charmante fillette rousse. L’histoire raconte leur amour à travers l’emprise du temps et leurs âges qui, un jour, se croisent.

Critique:

J’ai adoré ce film pour plusieurs raisons et je lui donnerais une note de 9/10. Premièrement, sachant plusieurs informations reliées à ce film grâce à notre travail de recherche sur un réalisateur, il est extrêmement impressionnant de voir le résultat final de nombreuses années de confection. Ensuite, l’histoire et la relation qu’entretiennent les personnages principaux sortent de l’ordinaire et sont d’une beauté significative. Le jeu d’acteurs est parfaitement exécuté par chacun et grâce aux effets spéciaux, les spectateurs ont l’impression qu’ils sont réels. Les effets spéciaux jouent un très grand rôle dans ce film. Ils sont à couper le souffle et tout à fait réalistes compte tenu du niveau de difficulté. Tout le film est réalisé de façon poétique et pour ses raisons et plusieurs d’autres il vaut la peine d’être écouter.



Sunset Boulevard (1950)


Réalisé par: Billy Wilder

 

Résumé:

Joe Gillis, un scénariste qui cherche à se faire reconnaître et à gagner sa vie se trouve en situation de problème d’argent et se fait poursuivre par des créanciers qui cherchent à lui prendre sa voiture. Alors que Joe les fuit, il entre dans une propriété privée qui semble abandonnée. Alors qu’il visite les lieux, ils se rend compte que ce lieu n’est pas abandonné, mais bien occupé par deux personnes hors du commun. Il y a Norma Desmond, ancienne grand actrice très fortunée et Max son valet très fidèle. Norma donnera un travail à Joe qu’il ne pourra refuser et il sera de plus en plus pris au piège dans l’emprise et l’amour de Norma. Alors que Norma rêve de se retrouver de nouveau sous les projecteurs, Joe tombera amoureux d’une jeune femme de son âge avec qui il travaille sur un scénario. Cette aventure se rendra aux oreilles de Norma et la rendra verte de jalousie...

Critique :

J’ai bien apprécié ce film sur plusieurs points. Premièrement, ce qui m’a le plus accroché de ce film était les thèmes qui s’y retrouvait, tels que le tiraillement entre la trahison et le bien, la célébrité perdue et la folie d’une personne qui ne peut accepter de vieillir. L’histoire est construite et racontée de façon originale et l’intrigue amenée au début est tenu en suspend tout le long. J’ai aussi adoré le jeu d’acteur des personnages principaux et particulièrement celui de Gloria Swanson, qui jouait Norma. Étant donné que son personnage et elle-même sont issus du film muet, ses expressions et ses mouvements étaient tout à fait représentatifs et authentiques. Les aspects techniques, comme celui de jeux de lumière, sont aussi une caractéristique qui m’a fait apprécier ce film. Bref, je recommande à tout les mordus de cinéma et les habitués de film d’époque de qualité d’aller voir ce film!

Caractéristiques du film Noir :

 

Thèmes :
1) La nuit : Lorsque Joe travaille avec Betty sur leur scénario, les deux écrivains se rencontrent la nuit dans les studios de la Paramount.
2) Le pessimisme : Le thème du pessimisme se trouve beaucoup dans le personnage de Norma qui ne tient pas à la vie si elle ne peut pas avoir ce qu’elle désire. Elle a un énorme trouble suicidaire et a des émotions variées de joie intense ou de désespoir profond.
3) La ville : Le récit se déroule à Los Angeles.
4) Lieux clos : La demeure de Norma est un lieu qui, malgré sa grande superficie, provoque un sentiment de cloisonnement.
Les personnages :
5) Femme fatale : Norma présente des caractéristiques qui se rattachent à la femme fatale des films Noir.
6) Le traqué : Joe est un personnage qui est traqué tout au long du film. Il l’est au tout début, alors qu’il s’enfuie des créanciers qui veulent lui prendre sa voiture et il l’est ensuite par Norma qui l’empêche d’être libre.
7) Le personnage portant un lourd fardeau : Norma Desmond est un personnage portant le lourd fardeau de sa vie. Elle est en constante nostalgie du temps où elle était sous les projecteurs et étant donné qu’elle ne fait plus partie du milieu du cinéma, elle a des troubles suicidaires et dépressifs.
Caractéristiques stylistiques :
8) Clairs-obscurs : Dans ce film, et comme dans la majorité des films Noir, il y a beaucoup de jeux d’ombres et de lumières. Par exemple, lorsque Joe et Norma écoutent les films de celle-ci et qu’elle se lève du divan en prenant place devant la lumière du projecteur (voir image ci-haut).
9) Flash-back : Le film presque au complet est un « flash-back », car il commence en racontant une histoire qui s’est déroulée six mois en arrière et finit à la fin de ses six mois.
10) Narration : Le film au complet est narraté par le personnage principal, Joe, qui raconte son étrange histoire.

dimanche 20 avril 2014

La voleuse de livres (2013)

Réalisé par: Brian Percival
Adaptation du roman de Markus Zusak

Résumé:

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Liesel, une jeune fille passionnée par les livres même si elle ne sait pas encore lire, est troublée par le décès de son frère qui meurt quelque peu avant que sa mère l'envoie en famille d'accueil près de Munich. Elle se fait élever par une nouvelle mère grincheuse et sévère et un père amusant et rempli de tendresse. Essayant d'accommoder Liesel à cette nouvelle vie, Hasel, son nouveau père, la divertira en lui apprenant à lire et à écrire. Liesel fera aussi la rencontre d'un jeune garçon, Rudy, qui la charmera et l'accueillera dans ce nouveau quartier. Un jour, un jeune Juif viendra se réfugier chez la famille qui, devant un service à la famille du garçon, prendra soin de lui. Liesel s'attachera à cet homme qui lui fera rédiger un journal. Par contre, Liesel est contrainte à ne rien dire à propos de ce visiteur, par peur qu'il ne se fasse prendre par les nazis. Étant victime de cette horrible période, Liesel volera des livres pour divertir son visiteur.

Critique:

J'ai adoré ce film! En premier lieu, j'ai adoré l'aspect poétique et tragique des évènements se déroule dans le film et j'ai aussi beaucoup apprécié le jeu des acteurs qui attachaient le spectateur au fil du récit. J'ai personnellement un faible pour les films relatant des cette période horrible, mais celui-ci à su m'émouvoir à travers son application poétique. Tous les aspects cinématographiques sont bien exécutés, mais sans tout de même surprendre le spectateur sur ce point. Bien que ce soit l'adaptation d'un roman et que le crédit original de l'histoire revient à l'auteur , j'ai trouvé que le jeu des acteurs était remarquable et réussissait à émouvoir à tout moment. Finalement, l'idée que le narrateur soit la personnification de la Mort est un concept original et surprenant. Je conseille ce film à n'importe qui qui aime les films émotionnel et doté d'une beauté à travers son récit.


Divergente (2014)

Réalisateur: Neil Burger

Résumé:

Béatrice vit dans ce qu'il reste de la terre, Chicago, après une grande guerre qui a tout rasé. Pour rétablir la paix et éviter de nouveaux problèmes, chaque individu est séparé par groupe de personnalité: les Sincères, les Érudits, les Fraternels, les Audacieux et les Altruistes. Béatrice, née de parents Altruistes vit dans ce clan depuis sa naissance, mais ayant atteint l'âge de 16 ans, elle doit choisir par elle-même le clan qu'elle adoptera pour toujours. À la grande surprise de tous, Béatrice choisira Audacieux, malgré le fait que le test où l'on qualifie le clan qui conviendrait à chacun ne fonctionne pas sur elle. Après plusieurs épreuves chez les Audacieux et la rencontre de Quatre, elle comprendra qu'elle est une divergente et qu'elle est en danger.
 

Critique:

J'ai bien aimé ce film et il m'a bien divertie. L'idée de l'histoire est originale, mais le crédit ne revient pas directement au film puisqu'il est une adaptation d'un roman. Pour ce qui est de l'aspect cinématographique, les images sont belles, mais rien d'innovateur. Finalement, on ne peut pas s'empêcher de faire un lien évident avec les films Hunger Games qui ont connu beaucoup de succès. L'histoire est très similaire: époque future, la guerre a dévasté la terre, il y a des clans et l'héroïne est une jeune fille. Personnellement, je préfère le film Hunger Games, car il comporte plus d'actions et l'histoire est plus complexe. Bref, ce film vaut la peine d'être vu si l'on veut se divertir avec un film d'action romantique, mais il ne faut pas avoir de trop grandes attentes.


mercredi 9 avril 2014

Les Disparues (2003)

 

Réalisé par: Ron Howard

Résumé:

Maggie et ses deux filles vivent une vie paisible au cœur de la campagne sur le territoire du Nouveau-Mexique. Un jour, Lilly, l’aîné, décide d’aller au carnaval de la ville en amenant toute sa famille sauf sa mère. Maggie , les attendant, remarque qu’ils ne reviennent jamais. Elle part donc à leur recherche et trouve son amoureux mort ainsi que sa petite fille Dot sous le choc. Elle apprendra que sa plus vieille fille, Lilly, s’est fait enlever par des Indiens pour la mettre en vente sur un réseau de trafic humain. Maggie demandera donc l’aide de son père, devenu indien dès qu’il a quitté la jeune femme alors qu’elle était très jeune. Le lien père-fille se resserrera dans cette aventure trépidante.

Critique :

Je ne suis malheureusement pas une très grande admiratrice de film western, alors quand j’ai reçu le devoir d’écouter un film de ce genre je n’étais pas totalement ravie. Par contre, dans le déroulement du cours à ce sujet, nous avons vu un extrait de ce film et il m’intriguait grandement. J’ai donc décidé, en raison de ma grande curiosité, d’écouter ce film. Heureusement, j’ai été très impressionné de l’avoir autant apprécié. Il y avait beaucoup d’intrigue et moins de « pow-pow » de film western habituel. L’histoire est bien construite et le suspense reste bien présent tout au long. Les images sont également très belles et le travail ardu du tournage transparait. Les acteurs sont également tous excellents. Bref, si vous n’aimez pas le genre western ou si, au contraire, vous voulez être surpris avec un film qui sort de l’ordinaire du genre, je vous conseille ce long-métrage.

Caractéristiques du film western :


Personnages : La mère admirable : Le personnage de Maggie, la mère de Dot et Lilly, est une mère dite « admirable », car c’est elle qui subvient aux besoins de sa famille et prend soin de tout dans la maison, incluant les enfants. Elle a un amoureux, au début de l’histoire, mais elle fait quand même toutes les corvées.
L’indien : Le père de Maggie, qui l’a quitté alors qu’elle était très jeune, est un Indien. En fait, il est devenu indien en quittant sa famille. Il reviendra et aidera Maggie dans sa quête.
 
Lieux : Praries : La maison de la famille à Maggie est située dans une prairie.
Canyon : Les personnages se retrouvent souvent dans des canyons. Un exemple concret d’un moment serait alors que Maggie et son père ont sauvé les jeunes filles prisonnières et qu’ils campent pour se cacher de ceux qui les poursuivent.
Ville avec une rue : Quand Maggie se rend au carnaval de la ville avec Dot et qu’elle demande au Shérif où se trouve son père.
 
Accessoires : Le cheval : Les chevaux sont très présents dans ce film. On en voit beaucoup lorsque Dot, Maggie et son père partent à la recherche de Lilly. Ils amènent avec eux plusieurs chevaux.
Le fusil winchester : Cet accessoire est aussi largement utilisé. On remarque beaucoup cette arme lorsque l’armée tente de tuer le père de Maggie au début de leur quête pour trouver Lilly.



Le Gladiateur (2000)


Réalisé par: Ridley Scott


Résumé:

Maximus est le jeune homme qui a aidé César à conquérir les territoires de Rome. Alors que César est mourant, il doit choisir qui détiendra le pouvoir après sa mort. Son fils, Commode, assuré de détenir le trône se voit déçu de savoir que César avait réservé le sort à Maximus, qui le considère comme son fils. Commode, en colère, tuera son père pour que la décision de César ne soit pas entendue. Maximus démolie par cette nouvelle ira retrouver sa famille. À son arrivé, il est dévasté de voir ce que les hommes de Commode lui avaient réservé : une maison brûlée et sa famille morte. Se laissant tranquillement mourir de tristesse, il sera amené à être esclave et finalement gladiateur.

Critique :

Je donnerais une note de 8/10 à ce film. Premièrement, je dois dire que le fait d’avoir à écouter un film de genre péplum ne m’attrayait point. Je n’aime pas les films très violents et anciens, donc ce genre n’était pas pour moi. Par contre, pour ce qui est de ce film, j’ai adoré l’histoire, car elle était touchante et bien approfondie. Les scènes violentes sont présentes, mais montées de façon originale et elles sont nécessaires à l’histoire. J’aimerais aussi souligner le fait que le réalisateur a été grandiose dans sa façon de nous faire haïr le personnage de Commode. Les aspects techniques sont divers et bien utilisés. Finalement, ce film passe très rapidement, malgré sa longue durée, et je l’ai bien apprécié!

Caractéristiques péplum :


Plan de grand ensemble : Tout au long du film, il y a quelques de plans de grands ensembles durant les scènes de guerre. Par contre, il y en a un dans la scène où l’on couronne Commode comme nouvel empereur. On le voit arriver sur une carriole trainé par des chevaux et l’on voit également toute la foule qui l’acclame.

Lieux : L’histoire se passe la majorité du temps sur les provinces romaines et aussi à Rome, dans le Colisée ou dans les temples.

Personnages : Jules César : Ce personnage qui est plus présent au début de l’histoire, est un personnage typique des films péplum. Ce personnage est tiré de l’histoire et est donc exploité à de nombreuses reprises dans les films. Dans le film Le Gladiateur, Jules César a pour rôle de nommer un homme successeur, car il est malade.

                      Maximus : Ce personnage est aussi tiré de l’histoire, mais est moins souvent utilisé dans les films. Il est un personnage typique des films péplum, car il est historique et a un lien avec Jules César. Maximus est le personnage principal de cette histoire et sa quête est de retrouvé sa famille et sauvé Rome, comme les dernières volontés de César le désiraient.

Beaucoup de figurants : Durant les scènes de guerres, pendant les batailles de gladiateurs et pendant l’entrainement des esclaves il y a de nombreux figurants.
 

lundi 10 mars 2014

Zombieland (2009)


Réalisateur: Ruben Fleischer



Résumé:

Un jeune homme, Columbus tente de survivre à Zombieland, surnom qu'on donne à ce qu'était auparavant les États-Unis d'Amérique. À cause du virus de la vache folle qui s'est transmis à un humain, les gens ont commencer à se transformer en morts-vivants voulant dévorer es habitants non-touché par le virus. Columbus rencontre sur son chemin un survivant, tout comme lui, Tallahassee. Ces deux personnages que tout oppose rencontreront deux jeunes soeurs rusées avec lesquelles ils passeront le reste du voyage jusqu'a Pacific Playland, le parc d'attraction. Ils se lieront d'une drôle d'amitié et tenteronot de survivre à l'effrayant Zombieland.

Critique:

J'ai adoré ce film pour plusieurs raisons. Premièrement, parce que j'ai aimé le genre du film qui était comique et effranyant à la fois. Étant pas une adepte de film d'horreur, j'ai été comblé car on se moquait un peu du genre. J'ai aussi adoré les personnages, car ils ont des personnalités qui s'opposent, donc cela donne un effet très comique. Le coté sentimental était aussi très bien insérée dans l'histoire. Pour ce qui est du coté cinématographique, les effets de lenteur dans les combats entre les humains et les zombies été très drole et original. J'ai aussi aimé les conseils pour survivre aux zombies et la manière qu'ils étaient intégré dans le film. Bref, je le recommende à tous ceux qui ne l'on pas vue et qui souhaite rire aux éclats.

 

Caractéristiques du film fantastique:

 
-L'histoire se passe dans un univers réel et reconnaissable, on le remarque avec les lieux (Californie et autres villes américaines) et le contexte actuel et moderne. On ajoute à cette univers un élément qui ne l'est pas (les zombies) et on crée de la peur.

-Personnage typique: le zombie
La planète entière à été dévasté par une maladie grave qui a transformé presque tout le monde en zombie. Les personnages principales sont, par contre, des humains qui tente de survivre.

-Les lieux: le parc d'attraction abandonné
Witchita et sa soeur ont comme quête d'aller au Pacific Playland, car semble-t-il qu'il n'y a pas de zombie. Quand elle arrive, l'endroit semble désert,mais elles feront erreur sur leur présentiment.

              : Le "château" de Bill Murray
Les quatres voyageurs se rentrouvent à Hollywood et décident de résider dans une grosse demeure. Les gigantesques maison amène toujours une certaine crainte à cause des pièce multiples.

-Thème: la rivalité entre les hommes et les morts-vivants
Tout le long du film, les derniers survivants de ce virus tentent de tué les zombies qui s'attaquent à eux.

-Aspect technique:
Un peu partout dans le film, un silence est créé avant chaque moment où les personnages principales entrent dans des nouveaux lieux pour créer du suspense. Le spectateur à donc peur qu'un mort-vivant surgisse.

- Le film est principalement comique, mais il y a tout de même la présence d'horreur. On le retrouve dans l'allure horrifiante des zombies et des coups qu'ils subissent.


lundi 24 février 2014

Le Dictateur (1940)

Réalisation: Charlie Chaplin



Résumé:


Un soldat juif maladroit de Tomanie tombe amnésique alors qu'il sauve un pilote d'avion durant la guerre. Lorsque qu'il sort de son amnésie quelques années après, il reprend son travail de barbier sans être au courant des changements politiques de son pays ni que le régime polique soit rendu dictatorial. Hynkel, le dictateur, est un homme terrorisant et exigent. Il souhaite éliminer les juifs. Grâce à la ressemblance physique du barbier et du dictateur, certains commendants les confondront, amenant le gentil barbier à diriger le pays et rétablir la paix.

Critique:

Le fait que ce film soit un film de Chaplin et un film classé «chef d'œuvre» m'était mes attentes très élevées. Heureusement, je dois dire que j'ai été agréablement surprise à quel point ce film m'a fait rire et m'a charmé. Le film est tout simplement bien monté cinématographiquement et le jeu des acteurs (principalement Charlie Chaplin qui m'impressionne toujours) était incroyable. J'ai adoré que ce film soit en sorte une caricature de l'époque de la deuxième Guerre Mondiale et du régime d'Hitler pour s'en moquer. Étant une fanatique d'humour absurde, j'ai été surprise d'être comblé par ce film de 1940! Bref, je le recommande parce que ce film vous fera rire et aussi parce que c'est un film qui devrait faire parti de la culture cinématographique de chacun.

Termes burlesques:


Running gag: Alors que le dicateur Napoleni et sa femme s'apprete à sortir de leur train, les plus hauts dirigents de la Tomanie les acceuillent et attendent que le train soit arreter pour dérouler le tapis où les invités déposeront leur pieds. Le train s'arrête quelques instants et alors qu'on commence a dérouler le tapis, le train repart et s'arrête plus loin. Les gens se dirigent donc à l'endroit où le train s'est arrêter pour la deuxieme fois et commence a dérouler le tapis. La blague se répète au moins trois fois. Ceci est donc considérer comme un running gag.
 
Jeu physique: Il y a un beau jeu corporel dans la scène où le dictateur Hynkel joue, seul, avec un globe terrestre gonflable.
 
Jeu avec la nourriture: Il y a un jeu avec la nourriture lorsque les hommes du même quartier doivent manger leur pouding, l'un deux contenant une pièce d'argent à l'intérieur. Cependant chaque pouding contient une pièce. Tout le monde réussissent quand même discrètement à passer leur pièce de monnaie dans l'assiette du barbier. Le barbier, apeurer de se faire découvrir avec la pièce malchanceuse, il les avalent tous.
 
 Slapstick: À plusieurs moments dans le film, certaines personnes veulent montrer des inventions révolutionnaires au dictateur. Alors qu'on lui montre un uniforme anti-balle, on lui fait une démonstration en tirant sur le jeune homme portant l'uniforme et le garçon s'effondre et meurt. Personne alors n'est paniqué et on passe à autre chose. Ceci est donc considéré comme une farce violente et rapide, que l'on appelle slapstick.
 
Chute corporel: Au tout début du film, le personnage incarné par Charlie Chaplin, est un  soldat très maladroit et en manipulant les machines de guerres, il tombe et fait plusieurs chutes comiques.


lundi 10 février 2014

Les Lumières de la ville (1931)

Réalisation: Charles Chaplin

Résumé:

Charlot, le vagabond, rencontre par hasard une jeune et jolie demoiselle sur sa route dans la ville. Il découvre malheureusement que cette pauvre marchande de fleurs est dépourvue de la vue. Il rencontrera aussi un millionnaire fort sympathique avec lui lorsqu'il est ivre, mais tout le contraire lorsqu'il est sobre. Grâce à la générosité du millionnaire, Charlot se fera passer pour un riche gentleman pour charmer la belle aveugle. Il vivra par la suite une tonne de péripéties pour rendre heureuse celle qu'il aime.

Critique:

 Les lumières de la ville est un film d'anthologie remarquable. Je donnerais à ce long-métrage un 9/10 pour plusieurs raisons. Premièrement, l'histoire était très touchante et comique, ce qui donnait un beau mélange. Ensuite, les acteurs et leurs personnages étaient excellents, spécialement le personnage de Charlot que je trouvais attachant et charmant par son attitude et ses manières. La réalisation était parfaitement exécutée. Bref, ceci est un film à voir absolument pour n'importe quel adepte de cinéma.

Termes burlesques:

 
Running Gag : L’homme millionnaire et Charlot sont dans un restaurant très chic et modeste. Alors que Charlot veut allumer son cigare, il allume celui du millionnaire en pesant que ce soit le sien. Ce gag se répète au moins 3 fois, ce qui produit un running gag.
 
Jeu avec la nourriture : Charlot et le millionnaire sont dans un restaurant modeste et avant de recevoir leur assiette de spaghetti, des confettis de rubans éclatent dans le restaurant. En mangeant ses pâtes, Charlot se trompe et confond les pâtes avec les rubans.
 
Jeux physiques : Charlot se trouve concurrent dans un combat de boxe. Alors qu’il se bat avec son adversaire, il y a beaucoup de jeux et de déplacements physiques.

Chute corporelle : Durant la scène d’entrée, Charlot fait beaucoup de jeux physiques et de chutes en étant sur la statue de la ville et en essayant de descendre de celle-ci.

Slapstick : Charlot regarde la femme aveugle s’occuper de ses fleurs sur la rue. Alors qu’elle rince un bol avec de l’eau, elle lance le contenu d’eau dans ce qu’elle croit être le vide, mais qui en fait est Charlot. Il s’agit d’une farce violente rapide, donc un slapstick.
 

Filmographie de Charles Chaplin:

 
L'Opinion publique (1923)
La Ruée vers l'or (1925)
Le Cirque (1928)
Les Lumières de la ville (1931)
Les Temps modernes (1936)
Le Dictateur (1940)
Monsieur Verdoux (1947)
Les Feux de la rampe (1952)
Un roi à New York (1957)
La Comtesse de Hong-Kong (1967)

*Caractère gras = Coté 1